Les équipes du cabinet s’engagent au service des clients et sont formées pour leur apporter un service personnalisé et de haute qualité.
Les associés du Cabinet Dauge Fideliance s’engage personnellement dans le pilotage des missions confiées au cabinet. Parce que leur signature engage leur crédibilité et leur responsabilité, ils s’impliquent sans réserves et privilégient un lien personnel avec les mandants, à tous les stades de la mission.
Le cabinet Dauge Fideliance offre à ses clients un très haut niveau d’expertise technique, fondé sur l’expérience et la compétence des associés, le recrutement de collaborateurs de talent et la formation continue de ses équipes. Les associés et les collaborateurs du cabinet Dauge Fideliance sont tous des experts reconnus dans leur domaine d’activité.
Parce que les mutations rapides de l’environnement extérieur exigent une adaptabilité et une réactivité toujours accrues, la mission d’audit et de conseil ne peut être efficace que dans une perspective pérenne. Afin que nos collaborateurs soient constamment au cœur des problématiques de nos clients, le cabinet Dauge Fideliance s’engage sur la stabilité des équipes dédiées aux différentes missions.
Être membre de Crowe Horwath nous permet de délivrer des services performants, grâce à la conjugaison de nos spécificités, de nos expertises, de nos convictions dans le cadre d’engagements communs et de méthodes partagées. L’exercice en réseau, au sens du Code de Déontologie des commissaires aux comptes, nous permet d’exercer nos missions comme des cabinets intégrés au plan capitalistique
Les missions internationales du cabinet Dauge Fideliance sont menées conjointement avec les cabinets membres de Crowe Horwath International dans les différents pays. Le cabinet Dauge Fideliance assure ainsi à ses clients un pilotage sur mesure des missions à l’étranger.
De l’utilité du CAC, billet d’humeur du président
Au moment où la loi PACTE va relever le seuil de l’audit légal dans les PME, quelques réflexions sur le rôle du CAC :
Le CAC (Commissaire Aux Comptes) ne sert à rien et il coûte cher ! Dixit, le rapport de L’IGF de mars 2018, sur la certification légale des comptes des petites entreprises françaises.
Difficile à avaler quand on s’investit depuis 35 ans dans un métier passionnant et utile aussi bien à la collectivité qu’à l’entreprise concernée.
Mais si, le CAC est une aide précieuse ! et ceci dans plusieurs domaines :
Il assure une fonction de veille technique et règlementaire, dans un environnement règlementaire d’une complexité inouïe et qui change tous les jours. Il informe des nouveautés qui concernent l’entreprise, évalue avec la direction les conséquences potentielles.
Il est le garant de la conformité comptable bien sûr mais aussi dans d’autres secteurs où il a une forte compétence : juridique, fiscale, sociale et dans le domaine des systèmes d’information.
Il est idéalement placé pour réaliser des diagnostics sur l’organisation administrative et financière bien sûr mais aussi dans le domaine opérationnel car c’est bien souvent un spécialiste du secteur d’activité de l’entreprise auditée.
Mais, me direz-vous, dans les petites entreprises, il y a déjà un expert-comptable dont la fonction fait double emploi avec celle du CAC ?
Réponse : pas du tout. Car l’expert-comptable ou ses collaborateurs sont dans une logique de production. Le CAC ne refait pas les travaux de l’expert-comptable. Il s’appuie sur eux et inscrit ses diligences en complément de son confrère.
Comment est-ce que le dirigeant d’une PME peut-il savoir que son expert-comptable travaille bien s’il ne dispose pas d’une vision externe d’un autre spécialiste ?
Peut-être et surtout, le dirigeant d’une PME est un homme seul, confronté à des choix stratégiques souvent compliqués. La présence à ses côtés d’un CAC dévoué, compétent et intègre, parmi d’autres conseils dont bien sur l’expert-comptable, peut l’aider à mesurer les enjeux et à prendre la bonne décision : celle qui fait, en fin de compte, la différence avec une entreprise qui réussit et les autres.
Enfin, le CAC n’est pas un père fouettard mais s’inscrit dans une dynamique d’amélioration et de correction. Il fera modifier les comptes si ceux-ci sont non conformes plutôt que de les certifier avec réserve. C’est sa force de conviction, la qualité de son argumentation et ses compétences qui font la différence renforcées par la vision de long terme qu’il a de l’entreprise et les prérogatives que lui a données la loi : procédure d’alerte, révélation au procureur…
Bref, prévenir plutôt que guérir, telle est l’une de ses devises.